Droit de la famille

divorce, rupture de PACS, fin de concubinage Antont

Les séparations (divorce, rupture de PACS, fin de concubinage) comme les décès induisent des problématiques complexes – affectives mais aussi financières ou organisationnelles – qui peuvent perdurer dans le temps.
Dans ces circonstances éminemment difficiles pour les familles, il est nécessaire de bénéficier d’un accompagnement professionnel de qualité, en amont de toute procédure ou d’accord, et cela même lorsque l’assistance de l’avocat n’est pas obligatoire.

Droit de la famille divorce

• Situation conflictuelle : réactivité et stratégie afin d’apporter une réponse judiciaire rapide et efficace.

• Situation non conflictuelle : appréhension fine et globale de toutes les problématiques familiales afin d’assurer un traitement juridique efficient de toutes leurs conséquences.

Droit de la famille divorce, rupture de PACS, fin de concubinage

Car, une décision ou un arrangement amiable, défavorable ou imparfait, même provisoires, peuvent perturber durablement les relations intra familiales. D’autant que les délais de traitement des recours judiciaires sont importants.

Il faut savoir reconnaître les enjeux essentiels au litige né ou à naître.

Il faut savoir préparer son dossier et ses arguments avant le procès, dès la première instance.

Définir une stratégie intelligente en amont, car elle colorera durablement l’avenir.

Et fournir une démonstration cohérente et pertinente au Juge éventuellement saisi, dès le début de l’instance.

Il faut aussi se préparer au débat judiciaire avec sérénité.

Que la procédure soit orale ou écrite, l’assistance d’un avocat expérimenté et réactif est précieuse. Qu’il s’agisse de conseiller et défendre, ou même, lorsque les circonstances s’y prêtent, de mettre en œuvre une procédure de médiation de qualité.

D’autant plus dans l’urgence, lorsqu’une garde d’enfants pose difficultés.

Maître Alexandra DUMITRESCO est particulièrement attachée au respect de l’intérêt de l’enfant.

Ses conseils visent toujours à tenter de le préserver au mieux, même dans les situations les plus conflictuelles, qu’elle ne craint pas d’affronter pour autant. Car au final, l’on est en présence de plus de deux parties.

Les parents concernés ne doivent jamais perdre de vue qu’ils ont la responsabilité de préserver la coparentalité (sauf circonstances particulières), et que le juge le plus sévère de leurs actes sera, plus tard, leur enfant, avec le recul de l’adulte qu’il sera lui-même devenu.

Outre ces questions à forte implication affective, les incidences financières induites par toute évolution de la sphère familiale peuvent être considérables.
Ces questions doivent être appréhendées et traitées rapidement.

Dans ce cadre aussi, avant que la situation ne se fige, les conseils de l’avocat sont souvent déterminants.

Bien évidemment, tous ces sujets impliquent une connaissance aigüe du Droit positif (Loi, Doctrine et Jurisprudence) car ils recouvrent plusieurs matières. S’en remettre aux conseils d’un avocat formé et expérimenté est indispensable.

Les honoraires sont annoncés et convenus d’avance, sur une base horaire forfaitisée tenant compte notamment de la situation des clients, des enjeux et des diligences requises.